Petite nouvelle (-18 ans s'abstenir)

Invité

Je vous publie une nouvelle érotique que j'ai écrite cet été. Je voudrais vos critiques dessus (bonne ou mauvaise).

Bonne lecture et surtout voyager bien au cœur de vos sens Petite nouvelle (-18 ans s'abstenir) Icon_arrow

Elle sortie nue, sont corps encore brûlant et ruisselant de la douche chaude qu’elle venait de prendre. Dans ce crépuscule sa peau se revêtait de couleur doré et satiné que lui offrait le soleil couchant. Elle se mordilla la lèvre de plaisir lorsqu’un souffle de vent lui caressa le bout de ses seins nus.

Ceux-ci se dressent sans crier gare. Comment aurait il pu en être autrement? Résister aux simples bonheurs et plaisirs que pouvait offrir la vie ne lui ressemblait pas. Cet effet qu’elle avait souvent connu, eut un effet plus particulier. Le contraste de la douche chaude et de cet air frais n’y était pas étranger.

Elle ferma les yeux et sentit le souffle de son amant. Celui-ci prenait plaisir à lui donner des frissons. "Garde les yeux fermés" lui souffla t-il à l’oreille pendant qu’il rependait son haleine chaude dans son cou.

Le sentant dans son dos elle se frotta à lui en une danse sensuelle tout en lui attrapent les hanches pour ne pas perdre son équilibre. Elle se mordilla la lèvre un peu plus fort tant ce souffle sur sa peau la rendait fébrile. Elle gémie de plaisir et l’une de ses mains descendit lentement caresser son sexe qui commençait à devenir brûlant de désire.

Elle allait trop vite, "prends le temps" lui dit il. Il prit ses mains dans les siennes. Elle se tortillait tout en se frottant contre lui pour compenser. Plus, plus, mais il ne céda pas. Il laissait son sexe dressé dans le bas du dos de sa partenaire. Celle-ci tentait de le faire monter en jouant de ses fesses, seul moyen qu’il lui laissait.

Il tenait toujours ses mains et les lui plaçait entre ses hanches et le ventre. Il la massait et caressait avec ses mains à elle. A chacun de ses mouvements de bassin pour augmenter la pression, il suivait et la plaquait plus encore. Il la sentait, mordillait et embrassait dans le cou en allant vers la nuque. Il voyait ses seins dressés et sentait qu’il avait maintenant lui aussi du mal à patienter.

Elle sentait que lui aussi commençait à perdre patience. Dans un magnifique coup de reins, elle réussit à faire monter le sexe de son amant plus haut dans son dos. Et profitant de ce faible avantage, elle bougea encore plus sensuellement son bassin. Elle gémissait de plus en plus fort, ne pouvant se soulagé de ses mains tremblante. Elle supplia dans un soupir son amant de la prendre sur le lit de coussins qui se trouvait sur la terrasse.

Malgré lui il sentait le plaisir monter, alors qu’il n’était pas en elle. Comment était ce possible? Il perdait les pédales, était bouillant, voulu crier. Il se mordit la lèvre et ne pu attendre d’aller jusqu’aux coussins. Il la porta, prenant ses cuisses. Elle mit ses bras autours de son cou et l’embrassa fougueusement. Doucement il la baissa pour que sa verge très dure s’enfonce en douceur au plus profond de son intimité déjà trempée et bouillante de désir et de plaisir.

Elle poussa un crie de jouissance quand il pénétra en elle. Le plaisir était si intense qu’elle lui enfonça ses ongles dans la chair de ses épaules. Pour ressentir encore plus de plaisir, elle l’enlaça de ses jambes et fit un léger va-et-vient avec son bassin. Ce léger mouvement provoqua en elle un frisson qui remonta de ses reins tout le long de sa colonne et qui se diffusa sur la peau de son amant. La sensation qu’il éprouvait en étant en elle, cette bouillante humidité le faisait se dresser encore plus. Avec ses ongles dans la chaire, douleur et plaisir se mêlent entraînant un profond râle. Il ne peut se contrôler et un premier jet de sa précieuse semence se répand en elle. Sa maîtresse sent tout cela, ça se passe tellement vite et est tellement intense qu’elle englouti entre ses cuisses ce sexe qui lui fait tourner la tête.

Elle pousse un râle également, ce qui invite cet amant à planter ses dents dans ce cou si sensuel et charnu. Il reprend ses esprits puis restant bien dur en elle l’allonge sur les coussins. Ses coups de riens sont profond, vif mais à faible cadence et en restant quelques instants le plus loin possible en elle. Ce qui est inattendu c’est qu’il sache garder cette douceur alors que la pénétration reste forte. Allongé sur les coussins ils entament la plus ancienne des danse. Les coups de reins de son amant son autant de coup de tonnerre qui traversent son corps brûlant. Elle le sert encore plus fort entre ses cuisses l’incitant plus en profondeur par de subtils mouvements de hanches. Ne pouvant retenir sa jouissance, elle lâcha un crie de plaisir qui fit s’envoler un couple d’oiseaux qui nichaient non loin de là. Tout son corps tremble de désir et de plaisir ramenant à elle le souvenir de leurs premiers ébats.

Étant en elle, il sentit cette jouissance brutalement. Son sexe était pris dans un étau, il ne pouvait pas se retirer. Il posa une main sur son clitoris et joua habillement avec entre le pouce et l’index. De l’autre il caressa un sein puis se mit à le malaxer pas trop fort mais ce n’était pas une caresse. Au bout d’un moment il réussi à reprendre ses va-et-vient tel un serpent se mouvant sur le sable. Il ondulait de tout son corps et devint plus bestial. Il arrêta de jouer avec ses doigts puis mordilla un téton en jouant avec la pointe de la langue. Il remonta et la mordilla dans le cou. Elle le rendait fou, il sentit qu’il perdait petit à petit le contrôle. Il commençait à lui appartenir, à devenir SON amant. Pas un vulgaire objet, non. Il était là pour la satisfaire. Elle n’était pas ingrate, elle savait lui rendre. Ces conditions lui permettait de se laisser aller, sans crainte il s’abandonnait et acceptait e perdre pied. Il variait l’intensité et la fréquence de ses va-et-vient, essayant de toujours la surprendre. Ça fonctionnait, elle poussait régulièrement des râles profond, mais quand elle tentait de l’accompagner avec des mouvements de bassin, elle n’arrivait pas à se synchroniser avec lui. Finalement, elle aussi devait s’abandonner, ce qu’elle fit. Il glissa un doigt humide le long de son dos puis entre ses fesses, attendant sa réaction.

Au contacte de ce doigt humide sur son dos et ses fesses, elle se cabra encore plus de plaisir. Leurs corps mouvaient à l’unisson et à cet instant précis rien n’aurait pu arrêter leur danse amoureuse. Dans un râle de jouissance elle lui mordit l’oreille sans pour autant lui faire mal. Elle le sentait en elle encore plus fébrile et fort de son désir pour elle. Oui il était son amant et elle savait comment lui rendre à sa juste valeur. Dans un souffle elle cria son nom et jouis de plus belle. Il en lui en fallu pas plus pour l’accompagner. Cette femme savait décidément comment s’y prendre. Il la regarda dans les yeux. Décrire ce regard n’est pas possible, aucun mot n’étant assez juste et puissant pour le retranscrire. Il était intense, profond et joyeux, mais le reste était…(sans mots). Il l’embrassa tendrement en lui caressent les cheveux. Il était au fond d’elle, bougeait son corps mais sans aller et venir. Son index continuait de la caresser, le long de la colonne jusqu’entre les fesses. Il s’arrêta sur l’autre intimité, puis se glissa très lentement. Sans l’inviter pour autant elle laissa faire. Elle rougissait. Bien que s’en doutant, le geste de son amant était presque insolite. Il reprit doucement les va-et-vient avec sa verge et laissa son doigt. Ce dernier se mit à faire de même avec délicatesse. Ils étaient allongés sur le coté pour favoriser ce nouvel échange.

Collés l’un contre l’autre, elle se cabrait de plus en plus puis venait plaquer son pubis contre le sien. Leurs mouvements étaient lents, harmonieux et parfaitement alignées sur celui de l’autre. Ils étaient en osmose, ne formaient
presque plus qu’un. Des râles sortaient régulièrement, ceux de l’un entraînent souvent ceux de l’autre.

Ce nouvel ébat provoquait des sensations nouvelles qu’elle n’avait encore jamais connus. Décidément son amant était fait pour elle, il savait faire ressortir le meilleur d’elle-même. Jusqu’à ce que son corps développe sa pleine capacité pour un plaisir et une extase totale. Elle pense qu’elle ne pourrait jamais trouver meilleur amant et qu’elle ferait tout pour le garder à elle. Leur osmose était si parfaite qu’ils ne formaient plus qu’un seul corps offrant sa passion à la lueur de la lune naissante. Dans un dernier relent de fougue, de désir et d’ardeur elle se cabra tel un ange offrant son intimité pour un ultime plaisir. Elle embrassa son amant d’un baiser tendre, sensuel et passionné. Lui murmurant des mots d’amour dans le creux de l’oreille. Tout en caressant son corps du bout des doigts comme une brise légère.

Il vint dans son dos, toujours de coté et la pénétra de nouveau. Leurs sexes suintaient. Lui aussi avait les jambes tremblantes, un tel plaisir était unique dans sa vie. Il lui mordillait les oreilles, le cou l’embrassait et jouant avec sa langue sur cette peau ho combien délicieuse au naturel. Il titillait ses seins, massait le ventre en cercles parfois léger et tantôt appuyés. Il descendait au bas ventre puis il masturbait tendrement le clitoris. Il passait délicatement, presqu’à la chatouiller, ses doigts dans son entre cuisse. Il ne s’arrêtait pas de la pénétrer.ses mouvements étaient une marque de tendresse, une forme de communion plus que pour faire jouir sa partenaire. Leurs ébats avaient déjà été très intenses. Pour une ultime fois cette nuit là, la fatigue le gagnant, il susurra à l’oreille "tu aimerais que je vienne à l’autre endroit?"

Le voulait elle ou pas ? Elle lui souri et son regard était plus intense que leur ébats passé. Son corps haletant lui criait son refus mais son cœur quand à lui implorait d’accepter. Dans un murmure elle lui donna son consentement, mais lui dit que ce serait le dernier pour cette folle nuit de passion. Elle l’embrassa d’une fougue nouvelle et lui souri de toute sa beauté. Il sortit de son vagin et humidifia ce petit trou que son doigt laissa. Il vint s’appuyer doucement, attentif au moindre de ses mouvements, râles ou refus. Il voulait que tout se passe en douceur, sans la moindre accroche. Elle ferma les yeux et sa respiration se fit plus forte. Il la sentait se cabrer l’invitant à rentrer. Il commençait seul de petits va-et-vient, lentement jusqu’à ce qu’elle l’accompagne de ses hanche. Ça s’accélérait, haletait, gémissait de plus en plus fort des deux cotés. Deux de ses doigts pénétraient également sa vulve, l’autre main massait le clitoris. Il sentait qu’il allait jouir. Il s’arrêta, se mit face à elle pour une dernière fois entre ses cuisses avec deux des doigts qui avaient pris la place vacante. Ils s’embrassaient et quelques instants après jouirent ensemble frénétiquement. Ils restèrent allongés sur le coté, blottis l’un dans les bars de l’autre, se caressent tendrement jusqu’à
s’endormir sans s’en apercevoir.

O_o

On dirait que tu as fait ça toute ta vie...
Enfin, je veux dire que c'est très bien écrit. Tu arrives à faire passer un acte... Comment dire... Tabou ?! avec une tendresse, sensibilité et magnificence exceptionnelle.

On voit que c'est une femme qui écrit, ce n'est pas vulgaire ni "pornographique". C'est un peu une histoire qui se lit comme une autre. Par là, je veux dire qu'on ne dirait pas qu'il s'agit d'un genre érotique.
C'est trop bien écrit pour mais pourtant c'est bien ça.
Bon, je ne suis pas une experte en lecture hentai mais je trouve ta nouvelle très bien.
Je te félicite ! Bravo ! ^^

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