Amour en appartement. [ PV Thalie Hopsonn] Yuri

Kimiko avait entrainée Lie chez elle, les yeux empli de malice, suite à la décision qu'elles avaient prise de ne pas rester dehors par cette heure tardive.
Elle avait emmener Lie chez elle, dans son petit appartement douillet, la tenant par la main, comme tout jeune couple ferai habituellement.
Malgrès le fait qu'elles venaient juste de se rencontrer, Kimiko aimait vraiment sa compagne, comme elle n'avait jamais aimé personne. Elle était emplie de joie, de malice, mais surtout d'amour.
Elles arrivèrent devant la porte de l'appartement, rabillées à la va-vite, s'embrassant. Kimiko chercha ses clés, rigolant, serrant Lie contre elle. Elle fini par mettre la main sur ses clés, mais mis encore un peu plus de temps à trouver a bonne. En effet, Kimiko avait la manie de ne jamais jeter ses clés, même celles dont elle n'aurait plus jamais besoin.
Kimiko arriva enfin à dévérouiller la porte. Suite à un léger "clic", la porte s'ouvrit laissant place à une douce obscurité. Elle ne pris pas la peine d'allumer la lumière, la faible lueur de la lune passat à travers la fênetre suffisant à éclairer la pièce de telle sorte qu'elles se retrouvèrent dans une douce lumière tamisée, une fois que Kimiko eu fermé la porte.
Kimiko enlaça sa compagne, sentant la chaleur de son corps contre elle, le parfum si délicat de sa peau embaumant l'air autour d'elle.
Elle enleva le haut de la jeune femme, décidant de reprendre là où elles en étaient avant de venir en ce lieux, au chaud, à l'abri des regards. Elle enleva aussi le sien, préférant sentir le torse nu de la jeune femme contre sa peau, et non contre une matière textile quelle qu'elle soit. Elle porta délicatement sa bien aimée et la posa dans son lit, endroit le plus chaleureux et intime de la maison.
Elle senti la chaleur et les courbes généreuses de son corps envellopant le sien. Elle ne pu s'empêcher de poser un délicat baiser sur son front avant de lui faire un sourire empli de malice et de littéralement se jeter sur elle, sans lui faire mal, bien entendu.
Kimiko embrassa Lie, caressant son corps sentant la moindre courbure, le moindre frissons que ce corps si parfait lui offrait. Elle caressa longuement la poitrine de la jeune femme, la sentant frissonner sous l'effet de la fraicheur de ses mains.
Kimiko ne pu s'empêcher de lui murmurer un doux "je t'aime" dans le creux de l'oreille, avant de la regarder dans les yeux, ses yeux si beaux, si profonds.

Le coup de foudre. Dans le dictionnaire on dit que c'est:
Pour certains spécialistes, le coup de foudre serait la naissance immédiate et irraisonnée d'un sentiment amoureux pour une personne inconnue dont l'apparence physique correspond à notre idéal.
Dans la réalité, cette notion "d'apparence idéale" est très controversée, car de nombreuses personnes reconnaissent avoir eu un coup de foudre pour une personne possédant un physique très différent (voir contraire) à leur idéal ....
Mais Thalie se moquait de savoir si c'était scientifique ou pas, se moquait de savoir comme s'était arrivé, tout bonnement parce que c'était arrivé. Et tout c'était passé si vite. Elles s'étaient vues, au parc, et tout était parti en vrille, ou pas, tout était parti dans un amour fou et puissant, qui avait balayé tout sur son passage, les caresses, les baisers, la nuit qui tombait, la fraicheur, l'odeur de l'herbe, l'odeur de sa peau, de ses cheveux, le goût de ses lèvres, le toucher de son corps, la jeune infirmière s'était sentie emportée. Et puis elles avaient décidées, d'un commun accord, de quitter l'endroit pour un autre, plus discret, moins frisquet. Lie c'était laissée guidée par son aimée, elle se tenait pas la main, c'était la première fois qu'elle tenait quelqu'un par la main pour autre chose qu'une prise de tension, ça la fit rire un peu, mais là, tout la faisait rire, un rien même, car elle était plus qu'heureuse!
Arrivées devant la porte, elle attendit, non sans une certaine impatience, que Kimiko ouvre la porte, elle se doutait que s'était son appartement, la remerciais de ce signe de confiance, après tout, elle se connaissait depuis si peu, mais une envie les avait prise, une envie si forte que rien n'avait pu les arrêter, une envie délicate mais brutale en même temps, car elle avait pris possession de leur corps. Kim' n'alluma pas la lumière, c'était mieux comme ça, avec juste la lumière de la lune, des étoiles, pour éclairer le chemin. Pour Thalie, c'était la première fois qu'elle aimait quelqu'un si fort, la première fois qu'elle aimait quelqu'un de cette manière, autrement qu'un amour platonique, fraternel ou amical, c'était si étrange et si bouleversant qu'elle s'en sentait toute retournée et se contentait de suivre la jeune professeur. Une fois qu'elles furent à l'intérieur, Kim' la prit dans ses bras, et seul le contact de sa peau contre la sienne, après que les vêtements eurent tout seuls, ou presque, trouvés leur chemin vers le sol, lui permettait de comprendre que non, elle n'était pas dans un rêve, ou alors son rêve le plus réel de toute sa vie. Elle avait cru que son cœur allait imploser, lorsqu'elle avait fermée la porte de son infirmerie, alors qu'une journée l'attendait, la retrouvé en soirée était peut être pas un miracle, mais quelque chose de bien plus puissant vu qu'il les avait mise ensemble.
Un baiser sur le front, alors que les mains de Thalie n'ont de cesse que de découvrir le corps de Kim; nombril, sein, côtes, omoplate, lèvres... En plus, elle réussit à porter Thalie dans son lit, qui avait l'impression d'être une princesse, ayant trouvé la sienne. Elle se jeta sur elle. Pas violemment, mais d'une vivacité surprenante, envoûtante, délicieuse. Et ses lèvres si douces. Thalie sentait les mains de Kim parcourir son corps sans pudeur aucune, et s'en était grisant, alors que ses propres mains s'emparaient du corps de Kim, caressant elles aussi chaque courbures, chaque lignes que son corps lui offrait, parfois plus timidement que d'autre. Jamais elle n'avait été dans le lit de quelqu'un, exceptée celui de sa sœur étant enfant. L'adrénaline devait l'aider à ne pas laisser sa timidité la consumer ou la bloquer de trop. Ses mains s'amusaient avec le bout des seins de Kim, presque instinctivement, alors que sa queue effleuraient ses jambes, douces et élancées. Son cœur bascula lorsqu'elle entendit les deux mots. Elle rougit au possible, posant son regard dans celui, foncé et captivant de la professeur, alors que de ses propres lèvres sortaient un "Je t'aime aussi, Kimiko... Tant..." Le temps semblait presque se suspendre, Thalie se releva, collant sa poitrine à celle de Kim pour venir goûter une énième fois ses lèvres sucrées.

Sa douce compagne avait perdue de sa timiditée dominante. Elle lui avait répondu, avait répondu à son "je t'aime", lui avait dit elle aussi. Kimiko était aux anges, plus particulièrement à cet ange, l'ange qu'elle tenait contre elle, l'ange qu'elle aimait tant.
Elle voulait lui appartenir corps et âme. Elle savait que c'était elle, qu'elle avait enfin trouvé la "femme de sa vie", la femme qui partagerai sa vie, qui jamais ne la laisserai tomber. Elle l'aimait, pas comme on aime une fleur, pas comme on aime une soeur, mais plutôt comme on aime un coeur, le coeur de celui, ou celle, avec qui on voudrai partager sa vie.
Kimiko senti ses mains glisser sur son corps. Elle frissonna de plaisir, se laissant aller totalement, se laissant guider par sa compagne, fraiche et délicate infirmière, touchant chaque partie de son corps.
Kimiko embrassa tout d'abbord la jeune femme dans le cou puis, sentant qu'elle ne manifestait aucun signe d'opposition - après tout, il ne fallait pas la brusquer, c'était sûrement sa première fois à elle aussi - elle descendit lentement ses baisers sur son ventre, sa hanche et le creux de ses reins. Elle détacha lentement son pantalon, l'enlevant lentement, observant la jeune femme. Elle observa sa douce compagne, simplement vétue, et sourit.

Elle est vraiment parfaite, une perfection si rare et si troublante...

Kimiko caressa sa cuisse du bout des doigts, frôlant sa peau si délicate. Elle continua de l'embrasser sur les hanches, partie vraiment sensible du corps si elle se rappellait bien de ses cours d'anatomie. Elle embrassa Lie sur chaque centimètre carré de peau étant à sa disposition. Elle aimait vraiment le gout de sa peau, son odeur aussi. Elle passa un léger coup de sa langue humide sur la poitrine de cet ange si parfait, se laissant emporter, avant de l'embrasser à nouveau, sur ses fines lèvres.
Elle devait se calmer un peu, du moins elle pensait, sinon, elle ne pourrait s'empêcher de laisser ses mains découvrir le corps de la jeune Neko.
Elle s'allongea à côté de Lie et la regarda, souriant, les yeux pleins de douceur.